

L’ensemble du jury a pu arriver à l’heure grâce à la SNCF, que le directeur du festival a tenu à remercier.
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La salle se remplit pour l’inauguration.
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Une excellente première pour Kathryn Ringer qui n’a pas caché sa joie.
Une première bougie a été allumée pour la Grande Messe du Fantastique à Vozha avec la traditionnelle cérémonie d’ouverture organisée mercredi soir à l’Espace LAC de Gérardmer qui a fait salle comble, sans surprise…

Le trophée présidentiel.
Il faut dire que le festival fête cette année ses 30 ans, des noces de perles toujours aussi intenses avec son public, comme le notent les officiels qui se sont relayés au micro avant que le jury ne saisisse le long métrage. Un bon signe pour le conseiller départemental Thomas Gion à l’origine de cette métaphore, et pour la maire de Gerardmer Stacey Spiesman c’est une nouvelle étape pour ce grand événement de la région qui consacre la force et la créativité du septième art ici, dans le perle des Vosges. Un événement qui « met la culture au service de la citoyenneté » en la présentant à travers la musique, la littérature, la sculpture, la peinture et surtout en la rendant accessible au plus grand nombre.
Oui, Gérardmer et la région Grand Est sont des terres de cinéma, voire de genre, avec plusieurs événements qui lui sont consacrés chaque année et qui sont bien implantés dans le paysage national, voire international, comme le note Martine Lizola, la conseillère régionale. Le Festival de Gérardmer rassemble les gens, c’est ” Une bulle au coeur de l’hiver » Où l’on vient se câliner pour avoir peur ensemble, pour ressentir des émotions ensemble. Mais il ne faut pas en avoir trop peu, il ne faut pas avoir peur d’avoir peur, car ” La peur tue le cerveau Cela nous rappelle le Seder ben Geshrit. En 1994, Lionel Chochen n’a pas eu peur d’amener le festival à Gérardmer, gagnant en spectateurs et en enthousiasme ce qu’il a perdu en flocons de neige nous rappelle Bruno Bard, le directeur du festival comme on l’appelle encore parfois. Arts fantastiques… le festival est devenu depuis ” Carte d’identité culturelle de Gérardmer“, fait son ciel” Le ciel est la passion du cinéma“, avec des vidéastes offrant à travers le septième art et leurs oeuvres des visions retranscrites” Les soucis d’aujourd’hui ou de toujours », poursuit Bruno Barde avant de présenter le jury de cette 30e édition, précédemment présenté par Pierre Sakot.
Un président visiblement ravi de retrouver le public, les artistes, les bénévoles et toute la grande famille du fantastique une fois de plus réunis à Gérardmer pour une semaine courte et particulièrement prometteuse…

Une première bougie a été allumée pour la Grande Messe du Fantastique à Vez avec la traditionnelle cérémonie d’ouverture qui s’est tenue le mercredi soir à l’Espace LAC de Gérardmer qui affichait, sans surprise, complet…

Il faut dire que le festival fête cette année ses 30 ans, des noces de perles toujours aussi intenses avec son public, comme le notent les officiels qui se sont relayés au micro avant que le jury ne saisisse le long métrage. Un bon signe pour le conseiller départemental Thomas Gion à l’origine de cette métaphore, et pour la maire de Gerardmer Stacey Spiesman c’est une nouvelle étape pour ce grand événement de la région qui consacre la force et la créativité du septième art ici, dans le perle des Vosges. Un événement qui « met la culture au service de la citoyenneté » en la présentant à travers la musique, la littérature, la sculpture, la peinture et surtout en la rendant accessible au plus grand nombre.
Oui, Gérardmer et la région Grand Est sont des terres de cinéma, voire de genre, avec plusieurs événements qui lui sont consacrés chaque année et qui sont bien implantés dans le paysage national, voire international, comme le note Martine Lizola, la conseillère régionale. Le Festival de Gérardmer approche, c’est “Une bulle au coeur de l’hiver” Où l’on vient se câliner pour avoir peur ensemble, pour ressentir des émotions ensemble. Mais il ne faut pas en avoir trop peu, il ne faut pas avoir peur d’avoir peur, car “La peur tue le cerveau“Rappelle la commande Bene Gesserit. En 1994, Lionel Chochen n’a pas eu peur d’amener le festival à Gérardmer, gagnant des spectateurs et avec enthousiasme ce qu’il a perdu en flocons de neige nous rappelle Bruno Bard, le directeur du festival qu’on l’appelle encore parfois . Arts fantastiques… le festival est devenu depuis “Carte d’identité culturelle de Gérardmer“, fait son ciel”Le ciel est la passion du cinéma“, avec des vidéastes offrant à travers le septième art et leurs oeuvres des visions retranscrites”Les soucis d’aujourd’hui ou de toujours», poursuit Bruno Barde avant de présenter le jury de cette 30e édition, précédemment présentée par Pierre Sukhot. Une petite semaine particulièrement prometteuse…
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